sexta-feira, 2 de dezembro de 2011

La Cousine Bette - Honoré de Balzac



La Cousine Bette est un roman d’Honoré de Balzac Publié en volume en 1847, il fait partie des Scènes de la vie parisienne, section Les Parents pauvres de la Comédie humaine.

Élisabeth Fischer, surnommée la cousine Bette est appelée à Paris par Adeline Hulot (sa cousine), femme admirable qui supporte les infidélités de son vieux mari le baron Hulot, libertin éperdu. Aigrie, laide, sèche, maladivement jalouse d’Adeline et de sa beauté, Lisbeth s’acharnera au malheur de la baronne Hulot et de sa fille Hortense. Celle-ci a épousé le comte Wenceslas Steinbock, un réfugié livonien (polonais), orfèvre de métier, dont la Cousine Bette prétendait qu’il était son « amoureux » car elle lui avait porté secours. Dans sa rage, elle pousse une de ses voisines d’immeuble, Valérie Marneffe, une courtisane, dans les bras du baron Hulot d'Ervy, puis dans ceux du comte Wenceslas. La famille Hulot s’en trouve presque détruite, mais, alors que les manigances de Lisbeth Fischer semblent aboutir, et qu’elle est sur le point d’épouser le maréchal Hulot, frère du baron Hulot, le scandale des frauduleuses opérations financières menées par le baron pour couvrir ses immenses dépenses éclate. Le vieux maréchal Hulot, s’estimant déshonoré, en meurt ; le baron Hulot doit disparaître. Lisbeth Fischer, après son mariage raté avec le maréchal, se retrouve donc une deuxième fois sans mari. Après la disparition du baron, c’est maintenant par Célestin Crevel, beau-père de Victorin Hulot d'Ervy, frère d’Hortense et époux de Célestine Crevel, que s’exercent les menées du duo infernal Lisbeth Fischer - Valérie Marneffe. Alors que cette dernière vient d’épouser Célestin Crevel, spoliant Célestine et Victorin de l’immense fortune paternelle, une intervention de madame de Saint Estève (l’empoisonneuse déjà rencontrée dans Illusions perdues et Splendeurs et misères des courtisanes) fait périr d’un mal mystérieux la perverse Valérie Marneffe. Adeline Hulot récupère enfin son mari et, devant le bonheur retrouvé de la famille, la cousine Bette meurt de rage. Cependant, le baron Hulot n’est en rien amendé et ses nouvelles infidélités provoquent la mort d’Adeline.

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